LES PHOTOGRAPHES ET ARTISTES

Passionné par la nature et l'observation de la faune depuis son enfance, il réalise d'après ses photos et croquis de terrain des sculptures animalières sur bois.

Ses terrains d'observations sont les Alpes, le nord de la France ainsi que différent lieu à travers l'Europe à la rencontre des espèces sauvages.

Née  en Belgique en 1958, Chantal Giannoni suit 2 années d'étude d'illustration à l'institut Saint Luc de Bruxelles. Fascinée par la nature, la montagne, les grands espaces, elle quitte sa terre natale en 1978 pour les Hautes Alpes d'abord, puis pour le Jura où elle réside depuis 1994. C'est dans le Jura qu'elle ancre alors ses racines et élève ses 3 enfants. Les caprices du destin l'embarquent, un peu malgré elle, dans une carrière bureaucrate. C'est l'échéance de la retraite qui lui offre enfin le grand bonheur de renouer avec sa passion initiale : le dessin et la peinture animalière. Elle affectionne particulièrement la technique des pastels secs appliqués sur fond d'aquarelle et, consciente des enjeux de nos sociétés modernes tellement déconnectées du monde sauvage, souhaite mettre sa pratique au service de la défense de la biodiversité.

Je m'appelle Thomas Prat, je suis professeur de français langue étrangère et je réside dans le Haut-Doubs, côté français du massif jurassien.

Ayant grandi au contact de la nature, j'ai eu la chance de découvrir et de cultiver une véritable passion pour la vie sauvage dès mon plus jeune âge.

Depuis aussi longtemps que je m'en souvienne, j'aime profondément les animaux et n'ai eu de cesse d'en parler, de collectionner les livres à leur sujet, de les observer, de les dessiner etc.

C'est en 2020, au retour de deux ans d'enseignement en Amérique du Nord, entouré de coyotes, orignaux et autres ours noirs, que je me suis lancé dans la photo animalière. Depuis lors, je cultive l'espoir (peut-être naïvement) que mes photos sensibiliseront mon entourage à la beauté du Vivant, mais aussi et surtout à la nécessité d'en prendre soin, tant il souffre et s'érode sous la pression des activités humaines. 

David Rouge est admiratif de grands espaces et de nature sauvage depuis son enfance. Il parcourt le monde à la recherche d’une vie faite de simplicité, de rencontres et d’émotions.

Fasciné de se retrouver au coeur des éléments, il privilégie les zones

extrêmes : désert du Sahara, forêt équatoriale et arctique, où il retrouve ce sentiment de vulnérabilité, qui fait tant défaut à l’homme.

Passionnée depuis plus de 40 ans par les oiseaux, la nature et le bois, Catherine née en 1963 dans le Nord à partagé cette passion pendant 35 ans avec son mari sculpteur animalier, disparu l'année dernière.

Artistes naturalistes autodidactes, sculpteur et peintre, ils ont réalisé ensemble de œuvres en bois naturel ou peint et partagé de nombreuses expositions et festivals en France ainsi qu'à l'étranger (Ménigoute, Montier en Der, Salamandre, Festival de l'Ain, Paimpont .....)

Ils ont réalisé de nombreuses commandes pour des villes ( Millstreet Irlande, Pologne, Angleterre, Espagne.....)

Maintenant seule Catherine continue et crée ses propres œuvres (mobiles et tableaux) toujours dans un souci du détail naturaliste.

Il est parfois des évènements qui changent une vie.

C’est lors d’un séjour en Inde pour une ONG, en janvier 2015, qui fut révélateur, qu’Adrien décide de se consacrer à la photographie d’animaux sauvages.

Obsédé depuis son enfance par le temps qui passe, la photographie lui permet de figer tous ces instants passés auprès du sauvage. Comme un devoir de mémoire, ces milliers de photos entassées sur disque dur deviennent alors des souvenirs impérissables.

Amoureux des grands espaces, l’Amérique du nord, l’Asie, l’Europe sont autant de destinations qui lui offrent la possibilité de découvrir d’autres cultures et les derniers endroits sauvages de la planète pour en rapporter des images toujours empreintes d’une sensibilité et d’une poésie qui lui sont propres.

Photographe et réalisateur autodidacte, Adrien a à cœur de s’engager pour défendre le Vivant et soutenir différents projets dédiés à la protection de la faune sauvage.

La lumière est son credo. Imprévisible, et c'est ce qui fait tout le charme de sa quête, elle
transcende le paysage et vient nous toucher dans ce que nous avons de plus sensible. Si la nature est la respiration d'un paysage, la lumière en est l'âme. Depuis plus de vingt ans, le photographe n'a eu de cesse de vouloir témoigner de la beauté, de la richesse et de la fragilité des habitats naturels jurassiens.
Témoigner jusque sous la surface des eaux, là où la lumière se décompose, où la vie prend d'autres formes, d'autres couleurs. Les photographies de Michel, exposées lors de nombreux festivals, ont été primées au prestigieux concours international “Wildlife Photographer of the Year” en 2005, 2006 et 2009, année où il obtient le premier prix dans la catégorie “Le monde sous-marin” avec la singulière image intitulée “Réflexion sur les brochets”. Son travail a été publié dans de nombreux livres et magazines de nature.

Je m'appelle Yoann Thionnet. Originaire du Haut-Doubs, j'y habite depuis toujours. Je sillonne les combes, vallées et reculées du Massif du Jura depuis ma tendre enfance aux côtés de mon père.

C'est lui qui m'a fait découvrir la nature et ses secrets.

Autodidacte j'ai commencé la photographie il y a huit ans. C'est devenu pour moi une véritable passion. Réussir à tromper les sens développés des animaux sauvages pour me retrouver au plus près d'eux un défi. De la rencontre des espèces les plus connues comme le renard, le chevreuil, est née ma quête du sauvage par excellence.

J'aime le défi, est c'est tout naturellement que je me suis spécialisé dans le pistage, la recherche d'indices des animaux les plus difficiles à observer sur le Massif du Jura. Des jours, des mois de
terrains et des heures d'affûts pour réussir à immortaliser les espèces fantomatiques de nos vieilles forêts Jurassiennes.

Naturalisteetphotographe animalier engagé. 

Né à proximité d’une grande forêt, il a toujours considéré la Nature comme un refuge, un trésor offert infini d’émerveillement et de retour vers l’essentiel car « la Nature agit comme un miroir pour nous révéler à nous-mêmes ».